Selon ce document, chaque personne inscrite au registre des chasseurs autorisés à monter des tendelles, doit se limiter à 60 tendelles.
Le placement des pièges dans les sous-bois est dorénavant interdit. La technique quelque peu modifiée, chacune des 60 tendelles sera, en début de saison, consciencieusement numérotées par les gardes nationaux, qui régulièrement viendront contrôler les pièges et relever l’imprimé où chaque tendeur aura
pris soin de noter ses prises.
« notre intérêt, déjà en temps normal, ce n’est pas d’attraper les petits oiseaux, qui font tomber les tendelles et que l’on ne mange pas. Nous autres, chasseurs, on prélève, mais on gère aussi notre gibier. Une bonne maîtrise de la technique de la tendelle, nous permet de réaliser, comme les anciens nous l’ont appris, un piège déjà sélectif. En effet, en fonction des deux bâtons du bas, si on les met plus ou moins haut par rapport à celui du milieu (lo chi), il faut plus ou moins de force pour faire tomber la tendelle. Quand on a un oiseau de 7 g qui vient se poser sur le bâton déclencheur, si c’est mis en haut, la pierre ne tombe pas. »
Je n’ai pas eu de problème avec les tendelles
sélectives. C’est juste un peu plus de travail :
creuser, mettre les cales…
Sur le Causse, il y a des endroits avec terre et d’autres sans, alors quand il n’y en a pas,
on a été obligé de les abandonner
ou de les déplacer.
Cette année, ils m’ont
donné des cales.
Il s’en échappe davantage.
Il s’en échappe davantage.
les autres abandonnant provisoirement leur droit à chasser à la tendelle.
Deux tendeurs expérimentateurs seront nommés et visités quotidiennement par un garde chasse (agent de l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage).
Nous aussi, on pourrait leur parler de sélectivité !